TOP 10 des choses que j’ai apprises en lisant le bouquin de mon patron
1 – Alexandre était un « cancre » à l’école.
Ouf je suis pas le seul !
2 – Il a créé sa propre marque de t-shirt à 18 ans pour passer ses étés sur la côte.
Malin pour aller dans sa discothèque préférée !
3 – Son rêve était de créer une agence de communication événementielle avant de monter un business autour du flexible.
Je comprends mieux pourquoi l’agence fruizz a été créée !!!
4 – Lors de sa 1ère rencontre, Jean François Zobrist l’a envoyé sur les roses !
Alexandre a compris depuis pourquoi, chaque entreprise doit faire son propre chemin.
5 – La libération s’est réalisée d’abord en « off » pendant 2 ans sans vraiment en parler aux équipes.
Et oui, la « libération express », ça ne marche pas !
6 – Alexandre était mort de trouille lors de l’officialisation et le fameux « saut en parachute » !
Pas le droit d’improviser cette fois-ci Alex !
7 – Trois jours avant son départ en tour du monde, Caroline lui annonce que son groupe de travail a décidé de refondre la rémunération du Groupe.
C’est là où tu fais pas le malin !
8 – À son retour de voyage, la boîte marchait mieux que quand il était là
Et BIM ! Ton égo en prend un coup !
9 – Alexandre ne passe désormais plus qu’une demi-journée par semaine au bureau
Alors oui, il a un agenda compliqué mais c’est surtout que s’il est trop présent, il peut encore avoir une influence (+ ou -) sur les décisions du collectif.
10 – Alexandre accompagne désormais des boîtes qui s’engagent sur ce chemin !
Pour aller plus dans la découverte de cette transformation, c’est par ICI !
Interview d’Alexandre Gérard pour Presse Océan !
Le quotidien Presse Océan interroge Alexandre Gérard sur la libération du groupe inov-On.
Une entreprise complètement libérée?
Le patron rappel que la libération n’est pas un état mais un chemin perpétuel, qu’elle ne passe pas seulement par des divertissements au sein de l’entreprise mais par de réels modifications dans les processus et dans considération envers les employés.
Venez découvrir l’interview complète >>> http://www.presseocean.fr/actualite/loire-atlantique-ces-entreprises-qui-se-liberent-des-liens-hierarchiques-29-05-2017-231981
L’entreprise libérée bouscule les représentations à l’IUT d’Aix-Marseille
Un technicien CHRONO Flex à la rencontre des étudiants
L’universitaire interpelle son conducteur, Jean-Louis : « Dans la réalité, ça se passe comme dans le documentaire ? »Julien et Jean-Louis conviennent d’une entrevue pour en discuter plus précisément.
C’est que le professeur a une idée derrière la tête : bousculer les représentations de ses étudiants afin de provoquer la réflexion quant à leur future vie professionnelle et plus largement sur la nécessité de prendre en main leur destin.
Julien Maisonnasse revient, sur la découverte de l’Entreprise libérée – sous les traits de Jean-Louis – par ses étudiants de 2e année de DUT.
« Nous avons travaillé pendant trois heures sur le management des ressources humaines. Puis, je leur ai présenté le film Le Bonheur au travail. Ce n’est qu’après ce travail préparatoire que Jean- Louis est intervenu. Sur la quarantaine d’étudiants présents, seule une poignée a vraiment échangé avec lui. Beaucoup, bien qu’intéressés, sont restés sur la réserve. Ils ont toutefois exprimé leur joie de rencontrer quelqu’un heureux dans son travail. En réalité, leur sentiment de contentement se heurtait clairement à un réflexe d’incrédulité : « est-ce vraiment possible ? » ; sans doute dû à une éducation, un formatage à l’entreprise classique.
Mais c’est vraiment ça que je recherche dans mes cours : montrer aux étudiants des manières différentes de faire et de s’organiser, dans l’esprit « Taylor nous a menti ». Il me semble nécessaire de leur donner une ouverture sur différents modes d’organisation en tant que futurs salariés et managers.
L’idée est de leur démontrer que l’implication et la motivation collective peuvent être des leviers importants pour faire avancer l’entreprise. Par répercussion, les étudiants peuvent évidemment en tirer des enseignements pour leur expérience présente à l’université ; la nécessité d’être pro-actif, par exemple.
Selon moi, il n’existe pas une vérité d’entreprise. Je souhaiterais qu’ils comprennent qu’ils possèdent une liberté de choix, qu’ils sont maîtres de ce qu’ils feront plus tard. Finalement, les étudiants ont vraiment apprécié que ce soit Jean-Louis, un technicien, qui viennent ; quelqu’un du terrain plutôt qu’un manager. Cela a donné plus de réalité et de forces à ses propos. »
Le campus des entreprises libérées fait son retour !
Deuxième édition du Campus des Entreprises Libérées le 2 novembre prochain !
Cet événement est organisé « par » et « pour » les Entreprises Libérées et se déroulera sur Paris à l’ESCP. Le sujet de cette édition, “Réussir sa transformation”.
Les différents aspects de la transformation y seront abordés : transformation personnelle, culturelle, organisationnelle…
Au programme de cette journée : des courtes conférences et 25 ateliers pour vous et vos équipiers. Par exemple : changer son rapport au pouvoir ; préparer & conduire la transformation ; construire le Whyway ou gérer les conflits.
Il n’y aura que 600 places cette année, alors inscrivez-vous vite 🙂
Les inscriptions se font ici >>> http://www.campus-entreprises-liberees.org
Inov-On Expérience accompagne les entreprises sur le chemin de la transformation !
Depuis plusieurs années, nous aidons certaines entreprises, qui elles aussi, s’engagent sur le chemin de la confiance et de la liberté.
Non pas que nous détenons quelques vérités que cela soit, simplement que nous avons fait beaucoup d’erreurs et que nous partageons volontiers nos apprentissages.
Nous avons structuré ce que nous faisons sur le site http://www.inov-on-experience.fr/ afin d’y voir plus clair.
Accompagnement, formation, facillitation, draw motion…
Découvrez toutes nos accompagnements et parcourez les étapes du chemin vers la libération !
Les objectifs en entreprise libérée ?
Dans cette nouvelle minute libération, Alexandre répond à la question d’une internaute qui l’interroge sur la mise en place des objectifs au sein d’inov-On.
Comment se gère l’engagement des équipiers dans une organisation
Dans cette nouvelle minute libération, Alexandre répond à la question d’une internaute qui l’interroge sur l’engagement des équipiers au sein d’inov-On.
Les étudiants de Sciences Po Rennes à la recherche du « bonheur au travail »
Ils sont vingt étudiants à constituer la Junior Entreprise de Sciences Po Rennes. Deux fois par an, ces derniers organisent des « Matinales », l’occasion pour les étudiants de l’institut d’études politiques de rencontrer des professionnels en lien avec des thématiques originales.
C’est dans ce cadre que l’épineuse question du « bonheur au travail » a été abordée.
Peu de temps avant ces Matinales, les étudiants avaient pu découvrir, lors d’un cours, l’Entreprise libérée sous les traits de FAVI. Malgré l’intérêt suscité par le sujet, des difficultés à comprendre comment, concrètement, cela pouvait fonctionner subsistaient.
C’est ainsi qu’en cherchant des réponses à ses questions sur le Web, Charlotte Gaussuron, étudiante du cursus et membre de la Junior Entreprise, découvrait une intervention d’Alexandre Gérard…
Contact pris, c’est Isabelle Briand qui s’est rendu sur place pour intervenir pendant les Matinales et expliquer aux étudiants comment l’Entreprise libérée se vit au quotidien.
27 étudiants, dont plusieurs souhaitant travailler dans les ressources humaines, se sont retrouvés ce matin là pour rencontrer l’équipière inov-On.
Après trente minutes, le récit laissait place aux interrogations des étudiants :
« Il y a eu énormément de questions, notamment par rapport à la hiérarchie, à la coordination des équipes… mais aussi à la crainte de s’enfermer dans un système qui empêcherait de retrouver, ensuite, un emploi dans une structure classique. En réalité, l’intervention d’Isabelle Briand a susciter une réelle remise en cause chez les étudiants de leur propre pertinence dans l’entreprise, en tant que futurs RH, par exemple » explique Charlotte Gaussuron.
« Entendre l’histoire de la bouche d’un collaborateur d’une telle entreprise a également permis de casser les clichés sur l’Entreprise libérée. Tout ce qu’on peut entendre ou lire sur la déresponsabilisation des leaders, sur son application impossible dans les grands groupes… Cette intervention a d’ailleurs décidé une des personnes présentes à approfondir la discussion avec l’entreprise Sens & Co [Ndlr : Entreprise libérée de la banlieue de Rennes].
À l’inverse, d’autres ont exprimé leur préférence quant à commencer par une expérience dans une entreprise dite « normale » avant d’intégrer ce type d’entreprises. » Charlotte l’assure : « Pour tous les étudiants, en tout cas, le message a été très positif : il leur a réellement donné envie d’être heureux au travail et prouvé qu’ils pouvaient l’être. »
À l’issue des Matinales et afin d’approfondir leur découverte, les étudiants de Sciences Po Rennes ont émis le souhait de se rendre dans des Entreprises libérées. L’objectif ? Constater, sur place, comment elles fonctionnent au jour le jour et s’immerger encore un peu plus dans leur univers.
« Le patron qui ne voulait plus être chef »
Immersion en Entreprise libérée pour le club APM Grand Estuaire de la Seine du Havre
L’APM est un réseau de chefs d’entreprise à travers lequel chacun de ses membres bénéficie d’opportunités pour progresser dans ses pratiques et sa posture de dirigeant.
Formations, rencontres, discussions rythment ainsi le quotidien des différents clubs disséminés en France et à l’étranger. Chaque club s’articule autour de quatre parties prenantes : les dirigeants (incités à la réflexion), les présidents (garant des valeurs portées par l’APM), les animateurs (chargés de stimuler la dynamique des clubs) et les experts (porteurs d’eau pour les dirigeants).
Frédéric Viguié et Magali Debray sont respectivement président et animatrice du club APM Grand Estuaire de la Seine, au Havre. Après un an de travail sur l’Entreprise libérée – court webinar de Stanislas Dejonquères (leader libérateur de Biose), lecture d’articles d’Isaac Getz… –, le club décide de passer à la vitesse supérieure en allant, sur place, se rendre compte de la réalité d’une Entreprise libérée.
En juin dernier, c’est donc chez inov-On que le groupe de dirigeants s’es rendu. 24 heures pour rencontrer les équipiers (dont Alexandre Gérard, lui-même expert APM) et se plonger au cœur de l’entreprise.
Magali Debray, l’animatrice, revient sur cette immersion en Entreprise libérée, une expérience inédite pour le club havrais.
« Avant d’aller chez inov-On, il y avait globalement deux attitudes chez la quinzaine de dirigeants que nous avons emmenée à Nantes : « Je n’y crois pas » ou « J’ai envie d’en savoir plus ».
Je dois préciser que la moyenne d’âge des participants se situe entre 40 et 50 ans avec des chefs d’entreprises de 10 à 300 salariés. Pour nous, c’était la première fois que nous nous rendions sur place pour rencontrer un expert. D’habitude, ce sont eux qui viennent au club.
Cette fois, il s’agissait d’une véritable immersion : nous sommes arrivés la veille au soir afin de dîner avec les team leaders d’inov-On, le lendemain matin nous avons pu découvrir l’histoire de l’entreprise racontée par Alexandre et l’après-midi, après la visite des locaux, nous avons approfondi les différents axes de réflexions.
Une journée vraiment complète pour laquelle nous remercions sincèrement Alexandre, Jérôme et les équipes inov-On.
Immédiatement après cette excursion dans le monde de l’Entreprise libérée, les membres du club ont commencer par réagir sur le fait de se rendre in situ. Malgré les 400 km parcourus, ils ont été ravis de pouvoir découvrir la réalité d’un quotidien.
Déjeuner avec les collaborateurs inov-On a également été très apprécié ; il ont trouvé cela très précieux de pouvoir recueillir une parole directe et non filtrée. Et puis, le partage d’outils pratiques, l’enthousiasme d’Alexandre… Vraiment une belle expérience.
D’ici quelques semaines, nous allons organiser un temps de débriefing. C’est un temps de partage que nous n’avons pas besoin de mettre systématiquement en place après les formations. Toutefois, dans ce cas bien précis, nous prévoyons des séances supplémentaires pour ouvrir sur d’autres approfondissements.
Il est important que nous puissions poursuivre et transformer la réflexion initiée sur l’Entreprise libérée par la mise en œuvre et l’action. C’est d’autant plus intéressant que même les dirigeants les plus sceptiques avant notre périple reconnaissent, aujourd’hui, que l’état d’esprit, les outils déployés, les principes… de l’Entreprise libérée peuvent avoir du bon. »
Sogeprom sur le chemin de la Libération
Sogeprom fait émerger les énergies positives
Branche immobilière du groupe Société Générale, Sogeprom déploie des activités de promotion à destination des acteurs économiques, du secteur tertiaire et des commerces ainsi qu’en opération de logements. Grâce à un réseau de filiales disséminées sur tout le territoire français, elle assure un maillage de proximité auprès de ses clients.
Il y a plusieurs mois déjà, Sogeprom a amorcé une mutation à la recherche de nouveaux modes de management. C’est ainsi que Pierre Sorel, directeur général délégué, a décidé, au printemps dernier, d’emmener les membres du Comité exécutif découvrir inov-On.
Objectif ? Leur donner une vision concrète de la vie d’une Entreprise libérée. C’est donc une délégation d’un peu moins de dix personnes qui s’est rendue au siège de Nantes, le 9 mai dernier.
Une visite déterminante pour Sogeprom. Pierre Sorel, nous explique en quoi :
« La journée a été très intéressante, indispensable même. Elle a vraiment fait réagir et s’interroger les membres du ComEx sur nos pratiques, sur la façon de libérer une entreprise (est-ce que quelqu’un doit donner des directives ?), sur la traduction concrète du niveau de Libération…
Dans notre ambition, nous avons la chance d’arriver plusieurs années après d’autres entreprises qui se sont engagées dans cette même voie. Auparavant, pour les collaborateurs et managers, il était difficile de savoir vers quoi ils allaient…
Aujourd’hui, nous avons des « images » à visualiser. Par exemple, nous savons que nous ne sommes pas obligés de faire basculer 100 % de l’entreprise. Ainsi, il me semble plus facile d’engager la transformation des managers en général.
Depuis notre visite chez inov-On, le ComEx s’est saisi de la question de la Libération et recherche des personnes au sein des équipes pour l’accompagner sur ce nouveau chemin.
La maturité des autres Entreprises libérées va nous permettre de gagner en rapidité car nous engageons la Libération sur plusieurs cercles en même temps, à une plus grande échelle.
Une des notions fondamentales sur laquelle nous sommes en train de travailler est celle de « Contrat moral ». Moi, c’est un aspect qui m’avait profondément interpellé chez inov-On : « est-ce que ce que je fais est bon pour le client ? le collaborateur ? la rentabilité ?… »
Nous devons identifier ceux qui désirent s’engager pour qu’ils deviennent des ambassadeurs, des porteurs de convictions. Mais pour ce faire, nous avons à définir les valeurs du contrat moral et les expliciter. D’ailleurs, après notre visite à Nantes, nous avons eu une discussion assez vivante car libérer l’entreprise engage un niveau de confiance qu’il va falloir faire évoluer.
En réalité, parmi nos agences, nous avons deux entités déjà engagées dans la Libération. Après la visite, nous avons demandé à l’un des collaborateurs de Investir Immobilier Normandie d’apporter son témoignage.
Un moment assez fort ; les autres collaborateurs lui ont posé énormément de questions. L’objectif maintenant est de faire tomber les barrières entre filiales pour transposer les pratiques.
Nous serons la première entreprise du secteur à suivre la voie de la Libération. C’est aussi une façon de se différencier par rapport aux clients. D’ailleurs, notre singularité est déjà reconnue. Lorsque nous participons à des concours, par exemple, il n’est pas rare que l’on nous dise : « vous êtes différents » dans le sens : « on sent que vous êtes des gens investis dans vos missions ». C’est donc naturellement que nous avons nommer notre projet de transformation « Energies positives ».
Entreprises Libérées : quand l’ancien monde résiste et offre de magnifiques opportunités aux acteurs du nouveau monde !
Ridicule, Dangereux, Evident
« Toutes les fois qu’un fait nouveau et saisissant se produit dans la science, les gens disent d’abord : Ce n’est pas vrai. Ensuite : C’est contraire à l’ordre et à la religion. Et à la fin : Il y a longtemps que tout le monde le savait ! » nous explique Louis Agassiz, paléontologue suisse du 19e siècle.
L‘entrepreneur et conférencier Idriss Aberkane, que j’aime beaucoup, nous décrit le même phénomène de la manière suivante : « Toute révolution est passée par les phases : ridicule, dangereux, évident. »
Très dangereux pour l’ancien monde
Durant de longues années, les entreprises libérées, de confiance, responsabilisantes, people centric, organiques, teal, plates, à pyramide inversée (ou quel que soit la manière dont on les appelle) ont vécu la phase « Ce n’est pas possible, c’est ridicule ! ».
Depuis quelques mois, ces organisations sont devenues dangereuses pour l’ancien monde. Bien sûr, elles bouleversent l’ordre « hiérarchique » existant, ceci très souvent en offrant des résultats excellents. Je dirai même que meilleurs sont les résultats et plus le « libérateur » fait la démonstration de l’obsolescence de l’ancien monde ; et plus violent souvent est le claquement des cordes de rappel de son passé !
Dehors pour les uns ; survie pour les autres
C’est ainsi que récemment, plusieurs dirigeants après avoir engagé leur propre transformation, puis celle de leur organisation, ont été évincés de leur boite. L’objectif de ces boites ? Mettre un terme rapidement à cette philosophie managériale qui bouscule l’égo et oblige à une vraie remise en cause.
Les mois qui suivent sont souvent compliqués pour les équipes de l’entreprise : ils savent ce qu’ils vont perdre et en même temps la majorité d’entre eux déclenchera un réflexe de survie qui conduira très vite à une « mise en conformité culturelle ».
CQFD
Ce mécanisme de défense de l’ancien monde démontre clairement que cette philosophie bouscule, remet en cause et dérange nos vieilles organisations sclérosées.
L’ancien monde a peur, et ce faisant, il confirme que nous sommes passés à la phase « dangereuse » de notre évolution. Ceci est tout simplement une excellente nouvelle ! D’ici quelques années, l’Entreprise Libérée s’imposera comme l’étape nécessaire pour nos organisations. Mon pari ? Dans moins de 5 ans, le monde de l’entreprise basculera massivement vers des organisations de confiance !
Bonnes nouvelles
Au final, ceci est une bonne nouvelle pour les acteurs du nouveau monde.
Vous voulez engager la transformation dans votre groupe ?
Des hommes passionnés et expérimentés sont désormais disponibles pour vous aider et piloter la mutation de vos organisations. Je ferai volontiers le lien avec eux si vous le souhaitez.
Autre bonne nouvelle, de nombreux équipiers vont souhaiter rejoindre des organisations en transformation pour continuer de vivre dans un environnement épanouissant pour contribuer eux aussi à la construction d’organisations plus collaboratives, plus humaines qui elles tentent chaque jour un peu plus de conjuguer liberté et responsabilité.
« Demain ne sera pas comme hier. Il sera nouveau et il dépendra de nous. Il est moins à découvrir qu’à inventer ». [Gaston Berger]
– En 2 min :
– En 16 min :
– La minute libération : ICI
Nos livres :
· L’aventure CHRONO Flex : ICI
· Le patron qui ne voulait plus être chef : ICI
The Conversation définit l’entreprise libérée
Christian Defélix est directeur de l’IAE et responsable à l’Université Grenoble Alpes. Il a défini dans un article paru sur The Conversation le concept d’entreprise libérée. En plus d’une simple définition, l’auteur nous livre ici des points clés pour approfondir le sujet.
Ce que nous avons retenu :
- Le concept d’entreprise libérée ne date pas d’aujourd’hui ! Hyacinthe Dubreuil, syndicaliste français évoquait déjà un concept d’ « organisation du travail fondée sur la liberté » dans son ouvrage parut en 1934.
- La libération n’a pas de recette miracle. Une « libération réussie » dépend de son contexte et de la culture de l’entreprise. Ce n’est pas parce que telle solution à marché dans telle entreprise qu’elle fonctionnera chez la voisine.
- Les entreprises libérées favorisent l’innovation. L’auteur met en corrélation les nombreux témoignages d’innovations dans ces organisations et l’absence de process dans ce type d’entreprise. Ce modèle managérial fournirait un contexte plus enclin aux initiatives personnelles.
- La qualité de vie au travail s’est améliorée. L’appropriation du travail par le salarié est un facteur de motivation, c’est pourquoi laisser le salarié définir ses missions renforce le confort et la prise sur l’activité.
Lisez l’article complet en cliquant ICI
Isaac Getz veut libérer l’éducation
Isaac Getz a confié sur son blog que plusieurs personnes, après la lecture de son livre Liberté et Cie, ont mis en parallèle l’éducation et les principes philosophiques de l’entreprise libérée : confiance, respect, épanouissement et autonomie.
Dans son prochain ouvrage, qui paraîtra fin octobre 2017, il abordera le sujet de la transformation des systèmes éducatifs. Il y décrira les modèles traditionnels – « industriels » – ainsi que les modèles alternatifs en adéquation avec les principes de l’entreprise libérée.
Plus d’info ICI.
INTERVIEW : L’Echo revient sur la libération de CHRONO Flex
En déplacement en Belgique pour le séminaire de lancement du « Cercle des libérateurs » le 10 octobre dernier, Alexandre Gérard a répondu aux questions de Michel Lauwers du journal belge L’Echo sur la libération de l’entreprise CHRONO Flex.
Ce qu’on en a retenu :
- Avant la crise, CHRONO Flex détenait 50 % de part de marché sur son métier principal, soit près de 100 000 interventions par an !
- Traumatisé par la crise de 2009 – 34 % de perte de chiffre d’affaire et de nombreux licenciements -, Alexandre est allé à la rencontre de Jean-François Zobrist et Isaac Getz – respectivement ex leader de FAVI et auteur du livre Liberté et Cie – pour le management de l’entreprise
- Avant de libérer son entreprise, Alexandre a dû travailler avec un coach sur ses croyances dans tous les domaines. C’est seulement ensuite qu’il a planché sur la culture de l’organisation.
- Suite à la libération, le chiffre d’affaires a augmenté de 15%, et le résultat multiplié par quatre en 2013
- L’entreprise n’est pas sans chef ou patron, mais son rôle a évolué. Il n’est plus là pour prendre les décision mais pour créer les conditions qui permettront à l’équipe de grandir
- Toutes les entreprises peuvent se libérer, mais il n’y a pas de recette miracle. Ce qui fonctionne quelque part peut ne pas fonctionner du tout ailleurs.
Lisez l’article complet en cliquant ICI.
Les processus décisionnels !
Nous avons le plaisir de lancer une nouvelle rubrique en vidéo sur nos process chez inov-On !
6 vidéos faites en Draw Motion par l’agence fruizz mettent en lumière notre fonctionnement au sein du groupe.
Aujourd’hui, on s’intéresse à nos processus décisionnels !
Vision et valeurs du groupe inov-On
Aujourd’hui, dans cette nouvelle vidéo sur nos process, on s’intéresse à notre vision et nos valeurs. Le socle de notre fonctionnement. Même si il n’existe pas de « modèle » pour l’entreprise libérée, c’est néanmoins une étape fondamentale dans le chemin de la libération.
La banque populaire nous met à l’honneur dans son COCKPIT
COMMENT SAUVER L’ENTREPRISE : LE CONCEPT DE L’ « ENTREPRISE LIBÉRÉE »
Pour sauver l’entreprise, Alexandre Gérard doit licencier. Il en est très affecté. « Je me suis demandé ce que je pouvais faire pour que cela ne recommence jamais », confie le dirigeant. En 2010, il découvre par hasard la philosophie d’« entreprise libérée » avec l’expérience de la Fonderie Favi et les écrits d’Isaac Getz, coauteur de Liberté & Cie et professeur à l’ESCP Europe. Une conférence de Jean-François Zobrist, le fondateur de la fonderie picarde Favi devenu une référence du concept de l’« entreprise libérée », va servir de déclic.
«Le modèle de l’entreprise libérée semble offrir une convergence résolument humaine.»
« Ces managers qui réenchantent le boulot »
Peu importe la taille des entreprises, le bien être au travail est devenu un enjeu capital dans ces organisations. Capital.fr a fait un tour d’horizon de ces entreprises qui « rééchantent le boulot » ! L’article est lire ici.
« Dans les entreprises libérées, chacun doit se sentir respecté »
Interviewé par les équipes de France Info, Laurent Ledoux, ancien président du ministère belge des transports revient sur la notion de respect au sein des entreprises libérées. Il parle également d’un « ras-le-bol du management classique ».
La Sécu dépoussière le management !
La CPAM des Yvelines se lance dans une nouvelle façon de travailler en s’inspirant des entreprises libérées.
Au programme, arbres colorés accrochés sur les murs avec des citations comme « C’est ceux qui font qui savent », une déco esprit start-up et un bureau avec tapis roulant ! Mais comme l’iceberg, ce ne sont que les signes visibles de ce nouveau management, en réalité la transformation est bien plus profonde comme nous le confirme Patrick Négaret, à l’origine de cette transformation.
« Derrière les gadgets, un vrai travail est mené avec les salariés. Il y avait sept strates hiérarchiques, nous en avons supprimé deux »
France 2 a également visité cette organisation. Le reportage est à retrouver ICI.
Vos organisations vivent-elles aussi les spasmes liés à l’apparition du renouveau ?
Messieurs les patrons des Grandes Entreprises… Bravo !
Le monde se transforme, quelle chance d’être les témoins privilégiés et parfois même d’être les acteurs de cette renaissance.
Ce changement de monde s’appuie sur de grandes mutations. Pour ma part, j’en retiens 3 :
- la transition numérique, qui change déjà tellement notre quotidien et dont nous ne soupçonnons pas encore les nouveaux impacts avec l’Intelligence artificielle, la robotisation et le bigdata,
- la transition écologique, vitale pour notre espèce, elle va nous ouvrir les portes de l’économie régénérative,
- la transformation des organisations.
Vos organisations vivent-elles aussi les spasmes liés à l’apparition du renouveau?
Si certains ont encore du mal à accepter que « ça bouge » dans les rangs, vous êtes nombreux désormais à permettre que tel ou tel de vos patrons ou directeurs de BU, s’engage et expérimente la confiance et la liberté.
Ces expérimentations sont sans risque pour votre entreprise car vous tenez la barre de l’ensemble et garantissez toujours le “bas de ligne”. Pour autant, ces ambassadeurs expérimentant, cheminant, vous permettent de poser un pied sur le nouveau monde. Grâce à eux, vous allez pouvoir, le moment souhaité, vous inspirer de leurs avancées pour initier une transformation plus globale.
Bravo d’avoir compris cela et de permettre à vos équipiers proches de cheminer à leur vitesse dans cette direction.
Une escapade dans le monde de la performance collective qui se construit sur le long terme pour garantir l’avenir de votre organisation sans prendre de risques.
J’ai compris qu’il fallait changer mon organisation quand elle a été touchée par la crise de 2009. J’ai fait un long voyage inspirant avec mon Codir, lu beaucoup d’ouvrages, rencontré de nombreuses personnes singulières et j’en suis sorti transformé.
Avec les équipes inov-On, nous sommes à votre disposition pour partager nos enseignements, éclairer vos choix, parler d’équipiers à équipiers, animer des ateliers vous permettant de constater les bienfaits de l’intelligence collective grâce au potentiel humain de chacun.
Alexandre GERARD
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